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Biographie de Brian May

Brian Harold May est né le samedi 19 juillet 1947, à la Gloucester Nursing Home, Hampton, Middlesex, Angleterre, de Harold et Ruth May. Harold May était ingénieur en électronique, et, travaillait comme dessinateur en chef pour le Ministère de l'Aviation. C'était un homme pratique qui prenait plaisir à fabriquer toutes sortes de choses, telles des pièces de jouets et de modèles réduits, et il était également bon musicien, d'un bon niveau au piano et au ukulele. Brian était fils unique.  
 

 
 
A cinq ans, Brian quitta la Cardinal Road Infant's School pour l'Hansworth Road Primary School à Feltham, Middlesex. Il aimait la musique, et souvent chantait et dansait au son de la radio, aussi, ses parents lui firent prendre des cours de piano. Le jeune Brian détestait ces cours de piano, car il devait les suivre le samedi, quand il aurait mieux aimé jouer dehors.  
 
Brian avait hérité de la dextérité de son père et il était toujours à l'affût d'un jouet ou d'une maquette à monter ou à démonter. Il était aussi un collectionneur sans limite. Ruth May se rappelle: "il collectionnait tout! Il avait des collections de bandes dessinées Eagle, d'étiquettes de fromages, de puzzles, de boîtes d'allumettes, entre autres choses!". 
 
Lorsque Brian fut âgé de six ans, Harold décida que son fils était assez grand pour apprendre à jouer du ukulélé.Brian montra une aptitude étonnante, et désira vite une guitare. Aussi, pour son septième anniversaire, ses parents lui offrir une petite guitare acoustique. Se servant des accords appris sur le ukulélé, il commença à apprendre à jouer seul, mais trouvait cette guitare trop grande pour lui pour la tenir aisément, et aussi que les cordes étaient trop hautes au-dessus du manche. Il voulait également un son 'électrique' et réfléchissait à modifier cet instrument. Tout comme son père, Brian était doué de ses mains, avec l'aide de Harold, il lui fit quelques modifications - abaissement du chevalet, ajout de pickups-maison consistant en fil de cuivre enroulé autour de boutons aimantés fixés sur la guitare- obtenant ainsi une guitare acoustique 'au timbre électrique 'qu'il brancha dans l'ampli du récepteur-radio de la famille que Harold avait conçu.  
 
A l'âge de huit ans, il commença à jouer d'autres instruments tels la flûte et la flûte indienne. Il montrait déjà un intérêt précoce pour l'astronomie et la photographie. Son père, excellent photographe lui inculqua les notions de base du développement et du tirage des photos, et, de même, lui procura son premier appareil-photo. Ensemble, ils fabriquèrent un petit télescope dont Brian se servait durant ses congés. Il passa beaucoup de soirées à Sidmouth à observer les étoiles, le ciel dégagé et l'absence de lampadaires les rendaient plus faciles à observer là que sur les abords de Londres. 
 
Comme bien des enfants, Brian avait une imagination très vive. Aussi, il se souvient qu'il était effrayé par un fauteuil de bois placé dans sa chambre, il racontait à sa mère qu'il avait un visage et des membres et qu'il le regardait. Rien d'étonnant à cela si l'on sait qu'il avait grandi en lisant un de ses livres préférés où apparaissaient des arbres qui parlaient et marchaient, des magiciens, de fantômes et de petits hommes aux pieds poilus: 'The Lord Of The Rings' de Tolkein. ' Mais ce n'était pas absolument mon préféré, dit Brian. Le meilleur était ' Out Of The Silent Planet' de C.S. Lewis'. 
 
Durant son temps libre, Brian écoutait sans arrêt des disques: Lonnie Donegan, Johnny Duncan, Tommy Steele, The Everly Brothers et Buddy Holly. Il se souvient: 'La première fois que j'ai entendu The Crickets, je fus emballé! Leurs harmonies, l'absolu de l'atmosphère qu'ils avaient créé. Je désirait plus que tout faire de la musique comme celle-ci'. Il avait aussi un penchant pour Connie Francis et Brenda Lee, dont les disques abondaient dans sa discothèque.  
 
Brian rangeait ses disques dans des boîtes spéciales, classées et numérotées. (Comme il était fils unique, il n'avait pas de problèmes de frères et soeurs qui auraient pu s'amuser avec sa précieuse collection! Une collection qu'il conserve toujours, à l'heure actuelle, précieusement, dans l'état de jadis). Il écoutait souvent ses disques en les accompagnant à la guitare, commençant même à improviser des solos. Comme la musique des années 50 était très orientée 'guitare', Brian y puisa une inspiration importante. 'J'écoutais attentivement toutes les chansons et je voulais tout savoir, comment les harmonies fonctionnaient, pourquoi elles fonctionnaient, qu'est-ce qui faisait qu'une harmonie vous touchait plus qu'une autre?'. Il disséquait chaque chanson à la manière d'un puzzle. Elles prenaient différentes formes et le challenge consistait à ré-isoler les morceaux et à recomposer la chanson d'origine. Brian avait plusieurs jeux de ce genre et trouvait le temps de les remettre en ordre une fois qu'elles étaient mélangées.  
 
Bien qu'il détestait ses leçons de piano, il continua à les suivre, et à l'âge de neuf ans, il avait déjà obtenu le Grade IV, passant les deux examens, théorie et pratique. Alors, il laissa tomber. Ses parents possédaient un piano droit à domicile, et maintenant qu'on ne le lui ordonnait plus, il trouvait plaisir à en jouer. Il composa même quelques petites mélodies et quelques petits airs, occasionnellement accompagné par son père au ukulélé. Une fois, alors qu'on lui avait demandé de jouer un petit air lors d'une fête scolaire, il joua un de ses préférés: 'Happy Birthday To You' qu'il interpréta timidement: 'Je me demandais si le professeur de musique me remarquerait, dit-il.' Il ne le remarqua pas. Durant les fêtes familiales, on lui demandait toujours de jouer quelque chose au piano ou à la guitare, étant de nature timide, c'était quelque chose qu'il essayait toujours, en vain, d'éviter. 
 
En 1958, à onze ans, Brian passa l'examen scolaire pour rentrer à l'Hampton Grammar School à Hampton, Middlesex, suivant ainsi les traditions familiales - son père avait été élève dans cette école, le fils de Brian, Jimmy, le sera plus tard. Le vif intérêt de Brian dans la musique persistait, même s'il ne la pratiquait plus de manière académique. Il suivait des études en vue d'une carrière dans l'astronomie, et, pour cela, ne négligeait aucune matière qui put lui servir. 
 
Il jouait de la guitare aussi souvent qu'il le pouvait, durant son temps libre, et se retrouvait souvent assis au milieu d'un cercle d'amis d'école admirateurs interprétant des chansons telles que: "Never Felt More Like Singing The Blues" de Guy Mitchell. Quelques autres guitaristes étaient à Hampton, et, ils se retrouvaient tous à l'heure des repas pour échanger des idées et jouer ensemble. Son collègue de classe, Dave Dilloway, voulait apprendre à jouer de la guitare et demanda à Brian de lui enseigner, ce que Brian accepta avec plaisir.  
 
"Ces leçons avaient lieu au fond de notre classe d'allemand" se souvient Dave. "J'avais l'habitude de plier une feuille de papier dans ma main pour simuler un manche de guitare. Nul besoin de vous dire que Brian réussit son examen O-Level d'allemand, et moi pas!" 
 
Brian trouva vite que sa guitare était indadaptée au style de musique qu'il écoutait et essayait d'apprendre. L'argent était une denrée rare à l'époque, et sa famille n'avait pas les moyens de lui offrir une Gibson ou une Stratocaster comme en avaient quelques-uns de ses amis ou bien encore la superbe Colorama que son ami John Garham possédait... Mais, il ne manquait pas de ressources, ni d'imagination, et, lui et son père trouvèrent La Solution! Ils allaient construire une guitare suivant les désirs de Brian!! Ayant joué sur toutes les guitares de ses amis, Brian avait une idée très précise de la guitare qu'il voulait et du son qu'il voulait lui voir produire. Une chambre de la maison familiale de Feltham fut réquisitionnée et transformée en atelier, et, en août 1963, le travail commença.  
 
Le premier problème fut de trouver le bois pour le manche, ceci fut vite solutionné par un vieil ami de la famille qui voulait se débarrasser d'une ancienne et solide poutre de cheminée d'acajou, et Brian commença le dur travail de sculpter à la main cette poutre et de lui donner la forme désirée; le bois était vieux et parsemé de noeuds! Le corps fut sculpté dans une grosse pièce de chêne aussi dure que l'acier, c'était un morceau de bois de bonne taille, plus divers morceaux que son père et lui avaient réussi à dénicher. Arrivé à un stade avancé du travail, tout à coup, alors qu'il travaillait sur le corps, les ciseaux glissèrent emportant avec eux un fragment énorme, Brian se sentit si exaspéré qu'il jeta la pièce entière par la fenêtre et il recommença à nouveau. Les outils qu'ils utilisaient étaient également fait-maison, avec en complément des canifs et une meule. Lorsque le manche fut sculpté à la forme que Brian désirait, il fut fixé au corps, chevillé et vissé en place, une grosse baguette rigide tenant leu d'armature fut incorporée pour garder le manche droit. 
 
Brian repéra alors dans la boîte à boutons de sa mère des boutons de perle anciens qu'il utilisa en guise de touchettes-marqueurs, mais, dut acheter des barrettes métalliques ne trouvant pas de matériau de substitution convenable, il utilisa une scie à métaux faite spécialement pour rétrécir celles-ci au petit calibre qu'il désirait. Une fois que le corps fut achevé, se posa alors le problème des micros et du bras vibrato, deux parties essentielles sur l'instrument. Brian se chargea des micros lui-même, tout comme il l'avait fait pour sa première guitare, avec du fil métallique et des aimants, mais le résultat étant très insuffisant, Brian dut se résoudre à acheter des micros Burns à 3 guinées chacun. Il les adapta en les remplissant de résine époxy pour les arrêter d'être microphoniques. Le bras vibrato fut réalisé à partir d'un morceau d'acier très tendre, courbé manuellement sur la lame d'un couteau à gaine, trempé, effilé, et la traction des cordes s'équilibra contre deux ressorts de soupapes de mobylette. 
 
Avant qu'elle ne soit complétement et véritablement terminée, Brian manifesta le désir à son père d'emmener l'instrument en classe. Son voeu fut exaucé et ilput se rendre en classe avec elle le lendemain. Il se souvient qu'il était assez anxieux car elle ne paraissait pas aussi bien que les modèles du commerce. Mais, il était plus que décidé à terminer son travail, et, lorsqu'elle achevée, polie et vernie, elle avait grande allure professionnelle, et Brian avait bien raison d'être fier d'elle. Lorsqu'il la ramena en classe, ses amis furent très impressionnés, un d'eux lui proposa même d'échanger sa propre guitare, pourtant achetée en magasin, contre sa guitare. Brian refusa son offre, son instrument unique lui avait coûté 18 mois de dur labeur et 8 livres Sterling pour la fabriquer ( plus 9,9 livres sterling pour les pick-ups), il ne voulait l'échanger contre rien au monde! La guitare devint célèbre sous le nom de Red Special, ou moins respectueusement The Fireplace, et 15 ans plus tard le garde du corps de Brian, Tunbridge, l'appela tout simplement The Chap! 
 
 
 
Lorsque Brian commença à mettre à l'épreuve le jeu complexe nécessaire à sa guitare ' inhabituelle', il en attendait une certaine sonorité. Il essaya sans fin, des spectrums durs, doux, ronds, ovales, mais aucun ne rendait le son qu'il espérait. ALors, il essaya les pièces de monnaie. Après en avoir essayé beaucoup, il trouva que la meilleure était une pièce de 6 pences tout ce qu'il y d'ordinaire, elle était suffisamment petite pour la tenir aisément, et il pouvait l'utiliser de différentes manières. S'il en jouait droit contre les cordes il obtenait un son dur mais pur, s'il frappait les cordes avec le bord dentelé, il obtenait un son rauque et grinçant. Dès lors, Brian se concentra à améliorer sa technique pour jouer. 
 
Le travail de classe et les études étaient agréables à Brian, et, il travaillait dur.Il était d'une personnalité populaire et respectée aussi bien par les élèves que par les professeurs. Il n'aimait pas le sport sauf la natation. Il participa même à une épreuve scolaire, bien qu'il ne gagna pas. Il était membre actif de la Société de Conférences de Hampton, et ce fut un moyen pour lui de vaincre sa timidité en public, un véritable challenge pour lui, mais, très vite, il réalisa que parler avec aise en public serait un atout majeur pour lui dans l'avenir. 
 
Mais, il gardait toujours beaucoup de temps pour la musique. Dave Dilloway dit: " Nous avions l'habitude d'installer deux magnétophones à cassettes, je jouais la lead guitare, pas très bien je dois l'avouer, dans un d'eux, et Brian jouait les accords. Alors, nous repassions ces morceaux et par-dessus, Brian jouait avec ma guitare basse faite-maison, à bon marché et de basse qualité, et moi je frappais sur tout ce qui était à ma portée du style boîtes à chapeaux et autres, en guise de batterie. Parfois même, Brian ajoutait quelques morceaux chantés." 
 
Tout cela était rudimentaire et amateur, mais ils y prenaient plaisir. Puisque Brian apprenait à Dave des accords de plus en plus sophistiqués, ils purent expérimenter davantage leur jeu avec Brian jouant la lead guitare rapide, démontrant tout son savoir-faire. Il y avait un type très talentueux à Hampton appelé Pete ' Woolly' Hammerton. Brian dit: " Woolly avait une technique formidable, même à ce stade précoce, et la compétition farouche entre nous nous fit énormément progresser. Il joua plus tard avec le groupe scolaire local, The Others. 
 
Brian et Dave Dilloway furent vite rejoints par un grand cercle d'amis, parmi eux, un camarade de classe nommé Bill Richards, auteur prolifique de chansons qui avait signé un petit contrat d'édition musicale. Il demanda à Dave et Brian de jouer pour lui quelques morceaux d'accompagnement pour la cassette -démo qu'il préparait appelée " The Left Handed Marriage ". Et tous trois passèrent quelques temps aux studios Abbey Road à St-John Woods au Nord de Londres. 
 
Durant l'été 1964, âgé de 17 ans, Brian gagna quelque argent bien nécessaire en faisant quelques petits boulots - un de ces petits jobs consistait à découper à l'emporte-pièce des balais d'essuie-glace, ( c'était une vraie paralysie de l'esprit, dit-il!) et un autre consistait à inscrire les prix dans une usine d'extincteurs à incendie. 
 
Brian et Dave Dilloway assistaient régulièrement aux concerts de "The Others" autour de Hampton, ce qui leur donna vite l'idée de fonder leur propre groupe. Il débuta avec Brian à la lead guitare, Dave à la basse,un ami appelé Malcolm à la guitare et un ami de classe, John Sanger, au piano.Aucun d'eux ne connaissait de batteur. Ils jouèrent ensemble une fois ou deux, mais, Malcolm se révélant d'un caractère irascible, il fut remplacé par un autre collègue de classe, John Garnham. 
 
John fut admis dans le groupe, en partie parce qu'il possédait sa propre guitare, son ampli, ses microphones et leurs pieds, mais, il était également le seul à avoir eu quelques expériences sur scène auparavant. Une annonce fut posée sur la vitrine du magasin de disques du coin, Albert's à Twickenham, pour rechercher un batteur. Le premier( et le seul) à répondre à cette annonce était Richard Thompson, alors ils l'acceptèrent. Un soir, le groupe était dans un bal local au Murray Park à Whitton, regardant un groupe appelé Chris and The Whirwinds. Au fond de la salle se tenait un gars de Hampton chantant en s'accompagnant à l'harmonica. Ils se présentèrent à lui et lui demandèrent de se joindre au groupe, Tim Staffell devint le chanteur et le joueur d'harmonica du groupe.  
 
Brian et Tim se rendirent compte qu'ils aimaient tous deux le héros des Comics Eagle, Dan Dare, ou plus spécialement le dessinateur Frank Hampson. 
 
Le groupe se demandait comment appeler cette nouvelle aventure, et faillirent presque adopter ' Bod Chappy and The Beetles' s'inspirant des mots d'un professeur à Hampton faisant référence à certaines gens par bods, s'adressant à ses élèves par chappy, et décrivant un certain style de marche par beetling. ' Nous avons aussi pensé à The Mind Boggles, dit Brian, mais finalement nous nous sommes arrêtés sur 1984'. Ils avaient tous lu le livre et étaient passionnés de science-fiction et ce nom avait, à cette époque, des consonnances futuristes.  
 
Le groupe commença à répéter régulièrement à Chase Bridge Primary School Hall, juste à côté de Twickenham Rugby Ground. C'était suffisamment proche de chez Dave Dilloway pour qu'il s'y rende à vélo. Il avait une petite remorque qu'il attachait à l'arrière de son vélo chargée de sa guitare basse et d'un gros ampli. John Garham, qui était un peu plus vieux, avait une petite voiture, et venait aux répétitions avec les pieds de micros dépassant du toit ouvrant de celle-ci. Ils utilisaient le hall avec l'aimable permission du conseil régional. Dans un moment d'inspiration, le conseil avait décidé que les jeunes du coin avaient besoin de soutien dans leurs efforts pour la musique ( cela servait à empêcher 'les loubards', comme ils aimaient les appeler, de traîner les rues.) et ils fournirent des halls et des salles gratuitement pour les répétitions. 
 
Une fois, on informa le groupe que le club de rugby voisin allait être l'hôte d'une grande délégation de Témoins de Jéhovah, et par conséquent, on leur demanda de ne pas faire de bruit. Le pouvaient-ils? Ils ouvrirent toutes les fenêtres du hall de l'école, montèrent le volume à fond de tous les instruments et des amplis, et attendirent que les Témoins de Jehovah viennent tranquillement signaler qu'ils priaient. Alors seulement, ils baissèrent leur volume... 
 
Durant ces répétitions, ils apprirent à se connaître mieux en tant que musiciens et les liens du groupe furent plus forts, et le 28 octobre 1964, ils donnèrent leur premier concert en public à la St-Mary Church Hall à Twickenham. " Nous portions tous des vêtements d'inspiration militaire, nous voulions avoir un air de régiment, pour quelques raisons, dit Tim Staffell, c'était également un gig tellement petit,mais nous avions confiance. Nous nous en sommes sortis assez bien." 
 
Leur deuxième représentation eut lieu quelques semaines plus tard au Richmond Girls School. John Garnham, Brian et Tim Staffell avaient des petites amies là-bas, et c'est comme cela qu'ils avaient pu jouer là. Ce deuxième concert fut le dernier pour John Sanger puisqu'il devait partir pour Leeds University. 
 
A Hampton, Brian était un membre actif de la société amateur d'art dramatique, prenant part à plusieurs de leurs productions. Comme c'était une école de garçons, les élèves devaient jouer aussi bien les rôles masculins que féminins, et le premier rôle féminin de Brian fut celui de Lady Languish dans The Rivals de Sheridan. Il devait avoir été convaincant dans un rôle féminin car on lui demanda aussitôt de jouer le rôle de Lady Mary Lazenby dans The Admirable Crichton. En outre, l'école possédait une chorale, et Brian devint un de ses membres également. 
 

 

(c) Anthony Marchat - Créé à l'aide de Populus.
Modifié en dernier lieu le 31.08.2005
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